Adieu Steve Hellier et bye bye le coté dub de 
Dead Elvis. Avec 
The Contino Sessions, Richard Fearless accompagné de Tim Holmes se lance dans du rock, du vrai , du pur, du dur, mêlé tout de même à une électronique qui n’est pas pour nous déplaire. Dès le premier titre, les guitares se réveillent et viennent puiser leur force dans le "la la la" plaintif, lancinant, merveilleux, mélancolique de Dot Alison, pour se terminer en une explosion de guitares saturées et de déchaînement de batterie. 
Soul Auctionner s'enchaîne, sur le chant de Bobby Gillespie de 
Primal Scream, la lourde basse et les guitares psychés.
Puis s’enchaîne 
Dead Threat, un morceau électro-rock quelque peu futuriste sur une rythmique proche de celle des 
Chemical Brothers. Le calme revient avec 
Flying pour un envol toujours sur des guitares saturées et des claviers rétros. Puis le morceau incontournable de l’album est certainement 
Aisha, sur lequel Iggy Pop prête sa voix grave pour y jouer le rôle d’un tueur en série. Les guitares et les claviers groovies se déchaînent et donne en live quelque chose d’apocalyptique. Après la tempête, le calme, sur les claviers de 
Lever Street, sur l’aérien 
Alladin’s Story  ou sur la voix de Jim Reid, de 
Jesus & Mary Chain sur 
Borken Little Sister, puis pour finir sur le psyché 
Neptune City. 
Suivez les guitares et les claviers et laissez vous guider par l’explosion de son.
	
	
		Chroniqué par 
		Antoine		
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