Encore une autre approche musicale sur le court
Aion.
The Arrival and the Reunion se teinte de couleurs royales, avec chant à plusieurs voix et grosse caisse d'orchestre.
Saltarello est un morceau instrumantal typiquement moyen-âgeux, mêlant percussions et flûtes. Retour au temps des troubadours.
Mephisto, autre piste instrumentale, courte et mélodique, mélange violons et luth. Vient ensuite le très beau
The Song of the Sybil, empreint de religiosité. Lisa y chante de façon divine et lyrique.
Fortune Presents Gifts Not According to the Book est une ballade chatoyante, chantée par Brendan. Avantage aux instruments traditionnels. Cornemuse, chant sombre et rythme digital sur le sublime
As the Bell Rings the Maypole Spins, puis retour aux ambiances religieuses, chères à
Dead Can Dance avec
The End of Words.
Black Sun retrouve l'atmosphère de
Spleen and Ideal. Trombone, percussions semi-programmées, violons et voix pénétrante de Brendan. Un grand moment de
Aion. Autre accapella durant
Wilderness et nostalgie sur
The Promised Womb. Instrumental encore pendant
The Garden of Zephirus. Chant d'oiseaux et flûte. Musique médieval et nord-africaine, pour finir avec
Radharc.
Peut être pas l'album le plus indispensable de
Dead Can Dance, mais néanmoins un nouveau voyage musical, aux frontières du temps et de l'imaginaire.
Chroniqué par
Yragael
le 00/00/0000
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1981-1998
(2001)
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