Une pochette immortalisant des eaux dormantes, une atmosphère inconnue, mais qui n’effraie pas, définit à elle seule, l’esthétique adoptée par
Canvas : Le bien-être, le silence, le calme et la quiétude. Entre électro minimale et jazz ambiant,
Canvas nous sert un tissu sonore raffiné. Une contrebasse très posée guide l’auditeur à travers dix morceaux aux sensibilités différentes et aux chatouillements electronica très légers. Cinématique sur la plus part des morceaux, mais aussi house sur
Naked et bossa sur
Betta Bossa, ils conservent tous une âme jazzy. Les mélodies se succèdent, sans complexités. Le piano rhodes remplie sa fonction d’accompagnement et apporte sa touche de limpidité.
Un album à écouter pour se détendre et pour oublier le monde qui vous entoure.
Chroniqué par
Antoine
le 28/10/2003