Avez-vous déjà fait l’expérience d’un concert de Filastine ? Avez-vous déjà pratiqué cet escogriffe altermondialiste, docteur en percussions multiples et variées, qui sample et boucle sons et bruits divers, accompagné de son caddie et de ses pads ? Avez-vous vécu un tel moment ?
Sinon, il est temps. Temps de se rattraper. De tendre une oreille à ses précédents albums, Loot, Dirty Bomb et Burn It. Et de vous ruer sur Drapetomania, qui sort le 28 avril. D’expérimenter ainsi la bass music psychédélique du bonhomme. De faire vôtre ses discours punks dénonçant tous les grands maux de notre époque. De découvrir sa nouvelle collaboratrice, l’Indonésienne Nova Ruth, artiste, vocaliste et activiste. Et pour parfaire votre culture, comme le bougre sillonne le monde, de Roubaix à Madras, Oregon en passant par Moscou et Milan, Italie, superposant à sa musique des couches de vidéos, de danse et d’idées révolutionnaires, vous irez vivre tout ça : le projet est global.
