Il est jeune (ça se voit). Il est du Nord (ça se voit moins). Il se fait appeler NUMéROBé. Il donne dans la « LoFi Love Music ». Dans l'electronica rêveuse. Il construit consciencieusement des univers lancinants autour de basses profondes, univers qu'on imagine facilement accompagner des installations au Palais de Tokyo. Il publie, chez les esthètes montmartrois de XVIIIEMEPENINSULE, un troisième EP, Parade, au léger goût de trop-peu.